Venir en Bolivie, visiter le Sud Lipez et remonter jusqu’au fameux Salar de Uyuni. C’est un itinéraire qui commence à être vu, lu et revu sur internet. Il devient même plus prisé que le classique au départ de la ville d’Uyuni.
On avait toujours entendu que du bon de cette région du monde. Après renseignement, on a décidé de prendre un tour version longue depuis Tupiza. Voici nos impressions, conseils et kiffes de ces terres que nous avons traversées en 4 jours et 3 nuits glaciales !
Quelle compagnie pour découvrir le sud lipez ?
Depuis Tupiza, il y a plusieurs agences, certaines plus sérieuses que d’autres. Les plus connus sont Las Torres, Tupiza Tours, Alejandro Travel…
Concrètement, elles proposent des tours similaires dans le Sud Lipez si vous prenez la formule 4 jours et 3 nuits. Les prix sont aussi sensiblement les mêmes donc cela va plutôt être de votre côté de définir ce qui vous plaît.
Notre choix s’est porté vers Tupiza Tours qui a répondu positivement à notre sollicitation.
Nous avons eu une réduction via notre blog, mais cela ne va en aucun cas influencer notre avis. Vous allez voir que c’est même l’inverse 😀
Le tarif classique est de 1 300 BOB/personne pour les 4 jours.
Sachez que vous pouvez négocier quelques trucs habilement, donc sondez les entreprises que vous repérez avant de faire votre choix.
Qu’est-ce qui est inclus ?
Dans le forfait vous aurez :
- Transport en jeep de 6 personnes (1 conducteur, 1 cuisinier/cuisinière, 4 visiteurs)
- Tous les repas durant le tour
- L’hébergement
Ce que vous devrez payer en plus :
- L’entrée de la réserve Nacional de fauna andina Eduardo Avaroa de 150 BOB/personne
- Les thermes pour 6 BOB/personne
- L’entrée des ruines espagnoles de San Antonio de Lipez pour 15 BOB/personne
- L’île dans le Salar de Uyuni pour 30 BOB/personne
- La douche de la dernière nuit pour 10 BOB/personne
- Un sac de couchage très basique pour 50 BOB/personne
Tout est donc très organisé et vous n’aurez pas grand-chose à vous préoccuper durant votre tour.
Notre itinéraire de visite du Sud Lipez
Cet itinéraire ne sera peut-être pas le même que vous, car suite à une tombée de neige entre le jour 2 et le jour 3, nous avons dû changer de route.
Jour 1 : Tupiza à Quetena Chico
Voici le grand jour pour ce tour avec un départ de Tupiza à 8 h depuis notre hostal Refugio del Turista (que l’on recommande).
Une vallée érodée
On commence à sortir de la ville et on arrive sur la vallée de la lune. Cette vallée forgée par l’érosion nous en met plein les yeux et vous comprendrez vite pourquoi.
Nous continuons notre route pour entrer dans les paysages de l’Altiplano que nous avons déjà découvert. Même si cela nous fait parfois penser au parc Lauca ou au parc Sajama, ce sont des lieux uniques pour nous européens.
Des quadrupèdes à perte de vue
Et puis bien sûr la faune locale est présente partout dans le Sud Lipez. Nous sommes les visiteurs dans ces terres peuplées par des lamas (domestiques) et des vicuñas (sauvages).
Il est important qu’en tant que touristes nous respections les distances avec ces animaux. Ne vous approchez pas pour prendre des photos, ce sont des bêtes peureuses surtout lorsque des jeunes sont présents. Cela leur occasionne du stress et personne ne le souhaite. 🙂
Du tourisme local et responsable au Sud Lipez
Arrivés autour de San Antonio de Lipez, nous nous sommes arrêtés à des ruines espagnoles.
Ce site est chargé d’histoire et aborde la période d’exploitation des mines ainsi que la colonisation espagnole. Un guide local vous donnera des explications sur les événements passés, sur la faune et la flore. Nous avons vraiment apprécié pouvoir discuter avec un local. Ce n’était pas un guide de formation, mais une personne très âgée de la communauté. On a eu l’impression que la transmission des informations était d’autant plus importante. Pour Deux Évadés, ce sont des points importants lors de nos découvertes. 🙂
Vol au-dessus d’un nid de condor
Après avoir croisé la route d’une bonne dizaine de lamas depuis le départ, c’est dans le ciel que la rencontre suivante à eu lieu.
Oiseau majestueux, représentant par excellence les terres hostiles de l’Amérique du Sud. Après une brève rencontre dans le parc national des glaciers en Argentine, c’est dans le Sud Lipez bolivien que le condor nous a retrouvés. Mais cette fois, il avait décidé de nous en mettre plein la vue, car il n’est pas venu seul. On a pu observer pas loin de 5 condors tournoyants dans ce ciel bleu. C’était un moment intense et privilégié de pouvoir contempler leur envergure et aisance dans les airs.
Les paysages du Sud Lipez
Le point de vue de la Laguna Morejon nous a permis de passer au-dessus de l’altitude symbolique du Mont-Blanc. Bon, c’est un symbole typiquement français, mais très fort pour nous. Pour un habitué du Sud Lipez, ça ne créera aucun émoi de passer cette altitude !
Les derniers kilomètres avant le gîte nous font entrer dans la réserve nationale Eduardo Avaroa. En 10 h, nous avons parcouru 300 kilomètres sur des pistes et pris 1 300 mètres d’altitude dans la tête. Le paysage entre Tupiza et le début de la réserve a largement changé. De formes rocheuses lunaires, nous avons grimpé vers des vallées parsemées de lagunes et entourées de hauts sommets.
Le gîte est sommaire, on attend le repas avant impatience en prenant un thé bien chaud. Pas de chauffage ici et une fois la nuit tombée, le froid de l’Altiplano nous envahit complètement.
Verdict de cette journée : ce fut la plus longue journée de route. Heureusement que l’on commence par celle-ci car pas toujours facile de rester dans un 4×4.
Jour 2 : de Quetena Chico à la laguna Colorada
Cette journée dans le Sud Lipez restera celle des paysages les plus impressionnant. On vous aura prévenus !
Des arrêts ressourçant
Ceux qui n’ont jamais dormi sous les draps glacés dans une chambre à 3 c ° ne peuvent pas savoir à quel point se lever est en même temps un soulagement et une douleur. Après, un petit déjeuner rapide, mais réconfortant nous avons repris la route vers de nouvelles découvertes.
Après nous être dégourdi les jambes au bord du Salar de Chalviri, nous avons pris la direction de thermes. Cette fois-ci pas question de se défiler comme au parc Lauca. Pas d’odeur d’œuf nauséabond comme ce peut être le cas dans certaines sources d’eau chaude (à cause du souffre bien entendu). Donc on enfile (difficilement) les maillots de bain et on s’enfonce dans une eau à 38 ° c.
À ce moment-là, le risque serait de vouloir y rester des heures. Car cette source nous apporte une chaleur peu facile à trouver dans le Sud Lipez. Mais le programme de la journée s’annonce tout autant satisfaisant, mais surtout très long. Donc pas de temps à perdre, on se rhabille, on repose nos fesses dans le 4×4 et c’est reparti.
Les beautés du Sud Lipez
Après cette étape, la route fût longue, mais les magnificences se sont enchaînés. Traverser les plus beaux panoramas boliviens restera sûrement un de nos souvenirs de voyage les plus marquants. Parce que ça n’a pas été de tout repos, mais surtout voir autant de diversité dans les paysages en si peu de temps nous apparaît comme incroyable avec le recul.
Du désert de Dali en passant par les geysers Sol de Mañana sans oublier les cerises sur le gâteau qu’ont été la Laguna Verde et la Laguna Colorada, les images défilent encore sous nos yeux à la vitesse de notre 4×4. Cela se passe de mot, mais pas de photographies bien entendu.
Verdict de cette journée : Finir cette journée par l’arrivée sur la laguna Colorada fût un moment fort de notre séjour. On a pu se balader autour d’elle pendant une petite heure malgré le froid et le vent. Avec la lumière rasante du soleil, la lagune prend des couleurs rosées et rougeâtre encore plus intense. Les animaux sont présents en masse aussi, flamands de toute sorte prenant la pose pour nous ainsi que les lamas.
Jour 3 : La laguna colorado vers le Salar de Uyuni
La nuit ayant été chargée en neige, notre itinéraire pour la journée a été chamboulé. Nous avons dû passer par une route alternative afin d’éviter des endroits délicats (un col à 5 000 mètres notamment) allant vers le désert de Siloli.
La copa del Mundo, on est dans la thématique !
Cette nouvelle route nous a permis d’observer de nombreuses formations géologiques très particulières. Et comble de la situation, il nous est apparu au détour d’une piste un symbole planétaire. La fameuse coupe du monde, mais cette fois-ci en roche.
Peut-être que la route a été changée pour rester dans la thématique coupe du monde 2018 ! Ou alors c’est seulement une grosse coïncidence. 😉 En tout cas on est champion du monde pour la 2ème fois 🙂
Encore d’autres particularités géologiques
Cette coupe ne fut pas l’unique particularité. On a eu en effet pu s’amuser avec d’autres.
On notera bien sûr notre ami le chameau.
Et dans un registre différent, la découverte d’Italia perdida n’est pas moindre. Son nom vient d’une légende disant qu’un Italien se serait égaré dans cette zone. Vous vous doutez que ce pauvre voyageur a connu une fin tragique. Ça peut arriver lorsqu’on se perd dans ces contrées-là !
Une lagune noire ?
Les lagunes bleu, verte ou rouge, c’est trop 2017. Maintenant ce qui claque, c’est les lagunes noires ! Un sentier glissant, humide et parsemé de roches peu accommodantes, nous amène en hauteur pour l’observer.
Encore une fois, ce sont les algues qui donnent sa couleur à cette lagune particulière. Et la neige tombant sur l’eau a créé un contraste très esthétique.
Un mini Salar en guise d’apéro
Un passage rapide devant le Salar de Chiguana finalise notre longue journée de route.
Nous arrivons ainsi dans notre refuge de sel pour passer la nuit. Cette fois une chambre double nous tend les bras avec salle de bain privative. Un luxe après nos deux dernières nuits. Les plus soigneux peuvent même aller se doucher à l’eau chaude, les vrais attendront 😀 C’est toujours ça de pris, car demain on saute du lit à 4 h 30 pour voir le soleil se lever en plein milieu du Salar d’Uyuni…
Verdict de cette journée : une journée longue et malgré un changement de route, nous avons pu profiter d’autres types de paysages. Le refuge faisait plaisir tout comme le repas du soir agrémenté par des bières achetées durant l’après-midi.
Jour 4 : jusqu’à Uyuni
Aïe, ça pique. Le réveil est à 4 h 30 après une nuit presque correcte. Mais c’est plus facile de se motiver quand on sait qu’une belle expérience nous attend. Nous prenons la route directement une dizaine de minutes plus tard. Le petit déjeuner attendra cette fois-ci.
Prêts à en prendre plein les yeux
Direction Isla Incahuasi afin de voir le soleil se lever sur le Salar d’Uyuni. La nuit est d’un noir épais et la surface extrêmement plane du Salar est impressionnante sous la lumière des phares. On se gare en bas de l’île et il faut commencer l’ascension dans la pénombre pour ne pas louper l’arrivée du soleil. Bon, ne faites pas comme nous, pensez à préparer vos frontales avant de partir de l’auberge. Heureusement, nos compagnons de voyage avaient tout prévu et on a pu profiter de leurs lumières pour la montée.
une mer de sel
Le Salar d’Uyuni est parsemé de plusieurs îles qui viennent couper la monotonie de sa planitude. Ce sont les vestiges de l’ancienne mer intérieure qui se trouvait ici il y a des millions d’années. Les îlots sont majoritairement formés de coraux fossilisés.
D’en haut, on peut observer l’étendue du Salar sur des kilomètres à la ronde. La vue panoramique donne le tournis. Avec ses 10 582 km² de superficie, il nous fait nous sentir tout petits.
Ce matin-là, le ciel était un peu voilé donc nous n’avons pas eu le droit à un lever de soleil éblouissant, mais il a quand même pris de teintes assez surnaturelles.
Mode touriste activé
Après un petit déjeuner bien mérité, nous avons pu explorer le Salar et nous adonner à l’activité principale du lieu : les photos de touristes.
Petit conseil, prévoyez un peu avant des idées de photos. Car nous sommes arrivés le jour J avec aucune idée des choses bien débiles à faire. Bon, on ne s’en est pas trop mal sorti en regardant ce que le groupe à côté de nous faisait. 😉 Et puis, au bout d’un moment, les idées viennent toutes seules.
Ce n’est clairement pas ce qu’on attendait de plus de notre séjour. Mais, finalement, on a trouvé ça vraiment sympa et drôle !
Verdict de cette journée : On ne pouvait pas mieux finir ce séjour de 4 jours par le Salar de Uyuni. Pour certains, c’est même leur unique raison de venir en Bolivie. Pour notre part, on faisait principalement ce tour pour le Sud Lipez. Mais cette dernière découverte fut quand même à la hauteur de nos attentes. Un moment très intense.
Notre guide, mauvais tirage…
La déception de notre tour a été notre guide. La relation nous a semblé bizarre dès le début, Pierre n’a pas accroché du tout et l’a trouvé faux. La suite de l’aventure fera penser la même chose à Laura.
L’épisode Laguna Verde
Le premier accroc a commencé le second jour. Notre guide nous a annoncé qu’il serait difficile d’accéder à la Laguna Verde et lorsque l’on a entamé le chemin pour y aller en effet de la neige était présente. Nous avons cependant pu nous y rendre sans que la voiture ou notre vie soit en danger. Le guide était par contre très réticent à nous amener jusqu’à là-bas, alors que c’était totalement prévu dans le programme. Sachant que le lendemain, il a roulé très vite alors qu’encore plus de neige était tombée, on s’est vraiment dit qu’il y avait de la mauvaise volonté dans son comportement de la veille.Il faut savoir que nous avons été les seuls sur les 4 équipages à y être allées.
Pas satisfait du tout …
Franchement, on trouve ça scandaleux, car c’était totalement réalisable. Surtout, qu’après être parti de la lagune, le conducteur nous demande de ne pas l’annoncer aux autres groupes… C’est pour nous un très mauvais point pour la globalité des guides de Tupiza Tours qui sur le coup n’ont pas été professionnels…
Il faut savoir que les voitures sont à eux donc ils peuvent rechigner à aller à certains endroits.
Le comportement désagréable du guide envers Laura
Notre cher guide a aussi décidé de prendre à partie Laura 2 fois sur des sujets totalement injustifiées.
act 1, en scène
Tout d’abord, la première fois en attendant que Laura soit seule dans la voiture pour lui dire que nous étions fâchés à cause du fait que nous n’avions pas eu le guide que nous souhaitions. Chose impossible, car nous n’avons jamais demandé de guide particulier comme nous ne connaissions personne de Tupiza Tour.
Bien que Laura lui explique que non, il en était certain et campe sur ses positions. Super la communication…
act 2, la goûte d’eau qui fait déborder le vase
Le deuxième fut la descente de la fameuse Laguna Verde où il nous dit que la neige est présente et que c’était limite de monter. Laura lui demande, sans animosité aucune, « pourquoi vous n’avez pas des chaînes, au cas où ? ». Et là, il décide d’arrêter la voiture pour l’apostropher de manière agressive sur son commentaire… Sachant que les roues du 4×4 étaient vraiment usées et avec peu de crampons, on est en droit de se poser la question…
Enfin bref, la confiance fut clairement entachée en moins d’une heure avec ces 2 épisodes. S’en sont suivi d’autres remarques et comportements bizarres que l’on ne va pas étaler…
Nous ne vous recommandons donc pas de partir avec Carmelo pour votre séjour si vous prenez Tupiza Tours. Vous pouvez demander un autre chauffeur à priori.
Verdict de cette expérience dans le Sud Lipez
Après ces 4 jours, nous comprenons mieux l’engouement pour le Sud Lipez et le Salar d’Uyuni. Les paysages sont si dépaysants et vous marqueront de par leur unicité.
Une expérience à vivre une fois dans sa vie. Cependant, on émet des réserves sur le fait de s’amuser à faire du 4×4 dans des espaces protégés ou même sur le Salar. Ce n’est pas une activité qui nous intéresse beaucoup en soi, voir même qui va à l’encontre de nos valeurs. Pourtant, c’est indispensable si l’on veut visiter cette région. De plus, le tourisme semble largement raisonné pour le moment dans le Sud Lipez avec la réserve qui régule les entrées. Mais impossible de savoir si à l’intérieur les touristes et leurs guides respectent les règles pour sauvegarder cet espace naturel.
Quant au Salar d’Uyuni, sa plus grande menace actuelle réside dans l’exploitation du lithium. Cette ressource très demandée actuellement avec le développement des énergies renouvelables. C’est ⅓ des réserves exploitables de ce minerai qui s’y trouve. D’un côté, cette activité (si géré en interne) permettrait le développement économique de la Bolivie. D’un point de vue environnemental, on sait que l’extraction de minerai engendre énormément de pollution en plus de la destruction d’un environnement naturel. C’est toujours la même histoire et on sait très bien que le gouvernement bolivien va choisir la prospérité économique au détriment de l’écologie.
Mais qui pourrait leur jeter la première pierre ?
Bonjour,
Nous étions en Bolivie en janvier 2017 , mon époux et moi avions réservé un 4X4 avec chauffeur et guide,(juste à la frontière avec le Chili) il nous en reste un souvenir inoubliable, la laguna verde (arrivée de bonne heure) nous sommes restés pour voir le changement de couleur. Le Salar nous sommes arrivées pour le coucher du soleil magnifique et le lendemain nous avons passé une partie de la journée sur le salar, notre chauffeur avait fait préparer un repas que nous avons eu le plaisir de prendre au milieu de nul part, notre guide nous a fait découvrir du vin Bolivien, nous sommes restés en contact avec notre guide depuis.
Marie
,
Holà Marie 🙂
C’est sûr que ce sont des souvenirs marquants. Peu de voyageurs doivent rentrer déçus de ce périple tellement les paysages sont différents de ce que l’on a l’habitude de voir ! Finir sur le Salar est la cerise sur le gâteau. C’est encore plus sympa si vous avez gardé contact avec votre guide de l’époque 🙂
Pierre
Superbes photos et souvenirs, encore une fois. Désolée d’apprendre que vous n’avez pas eu un super guide, j’ai l’impression que c’est quand même quelque chose de récurrent, au sein de la majorité des agences, quel dommage! L’important c’est d’avoir pu en profiter mais on se demande vraiment pourquoi ces réactions parfois.
(au fait, j’adore la nouvelle organisation visuelle du blog!)
Oh le guide n’a pas eu une importance folle dans l’expérience, vu ce que l’on a vécu en termes de paysages c’est un détail 😀
Merci pour le nouveau visuel du blog, il nous manque la page d’accueil encore, mais pour le reste on a fait plusieurs modifs, car on a changé de thème !
Heureusement que les paysages et les expériences sont toujours plus importantes et sont véritablement les seuls souvenirs que l’on emporte… d’autant plus forcément si le guide est moyen… En tous cas, c’est super que vous ayez partagé votre ressenti, comme d’habitude, ça permet aux nouveaux voyageurs de savoir à quoi s’attendre et quoi éviter ou même de voir justement que, malgré un détail pas top, ce périple vaut largement le détour!
Continuez bien la nouvelle mise en page, je connais bien le temps passé à tout bien recaler après un changement de thème…
J’ai pas voulu lire votre article avant de partir pour ne pas me faire d’idées ou de fausses idées sur ce que l’on allait voir nous-même. Mais ça y est, c’est chose faite suite à notre retour des 4 jours hier !!
En tout cas c’est fou la différence des paysages qui sont pourtant les mêmes, mais avec deux mois d’écart et la neige, certaines de vos photos ne ressemblent quasiment pas aux lieux que l’on a vu de notre côté. Mais ça a également son charme avec l’ambiance différente !! 🙂
Nous avons aussi été mitigé sur l’expérience 4×4 (mais comme vous, pas le choix), et pour répondre à votre questionnement, il y a effectivement des guides qui ne respectent pas certaines limites, à notre grand désarroi et celui de notre guide aussi.
Quelle belle aventure ! Et dommage pour le guide… Vos photos sont magnifiques en tout cas ;o)
Le guide ce n’est qu’un détail dans cette histoire. Le plus important reste les souvenirs et on en a des beaux en tête 🙂
Et merci pour les photos 😀